Inventions & Brevets
Cette page a pour but de mettre en contact des inventions écologiques et des industriels
Les projets disponibles
Voici quelques projets disponibles, brevetés ou pas, sur plans ou sur croquis, avec ou sans protos :
- Un petit véhicule à très faible consommation et sans points d’inerties.
- Une batterie propre.
- Un désherbant bio.
- Une plaque de voirie réglable en hauteur après les regoudronnages.
- Une nouvelle énergie renouvelable.
- Un système économique pour le chauffage des logements.
- Un dérailleur automatique pour cycles.
- Plusieurs systèmes de fixations rapides pour les meubles (Prix de l’Innovation au Salon du meuble de Paris). Nous en avons fabriqués vendus avec succès durant 4 années et nous avions de grosse commandes lorsque l’usine associée à fermé ses portes.
- Un remède naturel anti-coronavirus
- Et une livre sur l’écologie : « 2050 » qui cherche un éditeur.
A terme ce site recevra les offres et les demandes de chacun (sous l’entière responsabilité des annonceurs). Et devra donner des conseils et proposer des contrats types entre inventeurs et industriels. Car si inventer est un plaisir, mettre au point faire fabriquer et vendre est un véritable parcours du combattant où les élus sont rares.
Les coûts exorbitants des brevets, leurs publications qui les dévoilent à tous les pillards. Le coût des traductions des textes dans toutes les langues à 1000 Euros la page (à notre avis totalement inutile), les lois et les juridictions différentes dans chaque pays, ainsi que les recours contre les contrefaçons à faire dans chaque pays, les moyens de faire durer les procédures pour les contrefacteurs, parfois durant 20 années et de déposer leur bilan.
Le fait que les inventeurs particuliers n’aient pas accès aux aides publiques ou privées contrairement aux entreprises.
A notre avis un contrat de confidentialité ne sert à rien tant que l’industriel qui le signe n’est pas tenu de donner une réponse exacte et chiffrée. Dans la réalité il répondra toujours : « non » après s’être bien rincé l’œil.
Vos projets et vos entreprises
Attention à vos ordinateurs et à leurs moteurs de recherche, il existe 3 Centres de collectes des données informatiques mondiales aux U.S.A et un Centre en Chine ; avec un fichage automatique qui se déclenche aux mots clefs.
Attention à vos photocopieuses et à vos imprimantes elles ont une puce qui garde en mémoire tous vos documents. Attention à vos téléphones d’entreprises ils permettent à la personne qui vous appelle de rentrer dans vos ordinateurs. Les timbres postes que vous achetez sont passés au code barre et on peut ensuite savoir à qui vous l’avez adressé. Les numéros des billets de banques que vous retirez dans votre agence sont relevés et conservés (on saura ainsi avec qui vous avez fait des achats). Les détecteurs de visages fixes ou sur portables vous précèdent partout où vous passez. Vos cartes de crédit permettent de tout savoir sur ce que vous consommez et où vous êtes allés. Les puces placées sur vos véhicules permettent de connaitre vos moindres déplacements. Et des satellites espions tournent en permanence autour du globe et photographient avec précision chacun de nous et chaque véhicule à n’importe quel endroit de la planète. Si le prétexte annoncé est soi disant notre sécurité, le motif réel est l’espionnage et le vol des données de nos entreprises.
L’informatique a permit le renforcement de l’espionnage industriel, et maintenant nos entreprises ne sont plus à nous.
Inventions et brevets
En attendant notre disparition prochaine, rêvons encore un peu avec des inventions :
–Un brevet d’invention est un titre de propriété industrielle se rapportant une idée nouvelle (et bien évidemment à un travail de recherche) qui une fois déposé et dûment enregistré accordera à son inventeur une exclusivité de fabrication et de commercialisation (c’est-à-dire un monopole) durant les 20 années de la vie de ce brevet. Au bout de ces 20 années de monopole l’invention tombera dans le domaine public.
Mais ce dépôt de brevet sera soumis à conditions :
-Un rapport de recherche d’antériorité préalable pour vérifier sa nouveauté par rapport à l’état antérieur de la technique (c’est à dire par rapport à l’existant en cours de dépôts !). Les premiers brevets du stylo à bille furent déposés sans succès en 1888, 1919, 1938 et repris avec succès par le baron Bich en 1956. Et les premiers brevets du scaphandre autonome furent déposés sans succès en 1838, 1860, et repris par J. Y. Cousteau (avec quelques difficultés) en 1943.
-Ce progrès technique que l’on souhaite breveter doit être industrialisable et commercialisable.
Les découvertes scientifiques n’étant pas commercialisables ne sont donc pas brevetables.
-Ce produit nouveau devra pouvoir être compréhensible et accepté par « un homme de l’art ». Et devra contenir un « flash of genious ».
-Le Cabinet de Propriété industrielle (inévitable) fera ensuite la rédaction d’un texte détaillant les moyens d’obtenir ce résultat. Accompagné de plans. On ne peut pas breveter un principe, mais seulement des moyens pour obtenir un principe.
-Votre Cabinet de brevets établira en fin de texte une liste des revendications qui définira les points de nouveauté du brevet. Ce sont les seuls résultats du rapport de recherche d’antériorité et de ses points revendications qui vont déterminer la valeur d’une invention et de son brevet.
-Le Cabinet de brevets procédera au dépôt initial du brevet dans un des pays membres de l’OMPI, qui sera ensuite suivi par les extensions de ce brevet à d’autres pays.
A améliorer :
Dans les recherches d’antériorités, il existe actuellement un hiatus de deux ans dans les rapports de recherche. Ces rapports ne tiennent compte en effet que des publications (reçues) et non pas des dépôts (en cours).
Un additif au premier rapport de recherche d’antériorité, deux années après ce premier rapport me semble obligatoire (et on verrait ainsi apparaitre les brevets volés).
On pourrait également simplifier les démarches des dépôts de brevets (par exemple tout rédiger en Anglais au lieu d’imposer des traductions dans les langues de chacun des pays (à 1 000 Euros de frais de traduction par page).
Les publications traduites dans chaque langue étant plus facilement piratées.
Et on pourrait créer à minima un brevet européen (qui n’existe toujours pas !).
L'inventeur
L’inventeur est un champion du monde dans sa catégorie, mais il ne possède encore aucun droit s’il ne dispose pas du financement nécessaire pour se payer lui-même ses médailles en chocolat, car personne d’autre que lui ne les lui remettra. Ce champion du monde est devenu sans le savoir, et du seul fait de son invention, un homme à abattre et un condamné à mort.
Après les premiers frais de rédaction, de dépôt, et de recherches d’antériorité internationales (maximum 5 000 Euros). Il vous faudra compter environ 1 000 Euros par an et par pays (on se demande bien pourquoi ?), de frais annuels progressifs pour conserver la validité du brevet dans chacun de ces pays
Le temps de priorité accordé à l’inventeur pour payer ses extensions à d’autres pays que le pays du dépôt initial est bien trop court pour qu’il puisse industrialiser son produit, c’est à dire trouver un ou plusieurs fournisseurs ou partenaires, obtenir des devis, faire fabriquer, vendre son produit, et se constituer une trésorerie à coup de centimes de royalties.
Prévoyez un coût total d’un million d’Euros pour les 20 années de vie du brevet et pour les 50 pays adhérents à l’OMPI (Mais on n’est pas obligé de déposer dans tous les pays).
Plus des ¾ de ces frais seront pris par les honoraires du Cabinet de Propriété industrielle appelés Cabinet de brevets, pour payer la paperasse monumentale imposés par l’OMPI, et moins du quart du coût des brevets sera pris par les taxes des différents Etats.
Avec l’OMPI plus j’invente plus je serais ruiné ! Une seule échéance non réglée et tous nos droits seront perdus. Il n’existe aucun autre métier qui ne soit autant méprisé et massacré que celui des inventions qui veulent pourtant améliorer notre futur à tous. Même les assassins et les bagnards sont mieux traités que les inventeurs.
Ces sommes seront bien évidemment à payer par l’inventeur avant qu’il ait pu trouver un fabricant (la prudence l’obligeant d’attendre d’avoir au moins reçu son titre de propriété pour pouvoir communiquer). Et ses communications devront obligatoirement se faire sous contrat de confidentialité signé par le PDG de l’entreprise (sous peine de nullité), tant que son brevet n’aura pas été publié ! Et pour la juridiction américaine il devra être signé même une fois que vous aurez obtenu votre titre de propriété.
Une seule échéance non payée par l’inventeur entrainera la déchéance de tous ses droits (On est véritablement en dictature).
On imagine tout ce que nos pays perdent en emplois et en recettes avec ce système tordu.
A raison de 5 à 7% de royalties sur le prix de vente départ usine (soit 2,5% à 3,5% du prix public) on imagine tout ce que doit générer une invention pour payer simplement ses frais de déports. C’est 1 million divisé par 5% soit 20 millions d’Euros de chiffre d’affaire que l’inventeur devra réaliser pour payer ses seuls frais de dépôts tous pays (sans parler des frais de justice à l’étranger ! contre d’éventuelles copies ou contrefaçons ! ).
Les portes clefs ou les ouvres boites (par manque de chiffre d’affaire) n’auront donc pas accès aux brevets ; de même que les moteurs d’avions inventés par un particulier n’auront pas accès aux essais.. (par manque de moyens). Il ne nous reste plus que le Concours Lepine !
Aucun inventeur particulier ne peut partir seul à la guerre dans cette jungle et à défaut d’un industriel sympa et honnête qui n’existe pas, une union et une solidarité entre inventeurs sont obligatoires.
Du fait des coûts des dépôts aucun brevet n’est déposé dans le monde entier et aucun dépôt ne peut être maintenu durant les 20 années du brevet.
Le monopole accordé par ce titre de propriété qu’est le brevet permet bien évidemment à l’ayant droit de vendre cher sa nouvelle fabrication (pour payer ses frais de recherche et de brevet). Mais ce fabricant (une fois lancé) aura intérêt à vendre son produit au prix le plus juste pour ne pas attirer la convoitise des concurrents et il pourra ainsi conserver son monopole même sans brevets.
L’inventeur n’est pas non plus obligé de fabriquer ni de commercialiser lui même son invention, il peut la sous traiter, il peut aussi accorder des licences de fabrication et de vente, il peut aussi vendre son brevet (c’est-à-dire le montrer, à des industriels qui ont tous les moyens de le contourner et qui n’ont aucune envie de le payer..).
Les inventeurs lorsqu’ils rencontrent un industriel pour lui proposer une invention nouvelle devraient pouvoir déposer en même temps auprès de l’ONU une copie de leurs dossiers datée et signée et tenue secrète et scellée, avant ou après le dépôt du brevet. Laquelle pourrait faire foi en cas de copie ou de fraude. De telle sorte que les industriels ne puissent plus continuellement baiser les inventeurs en leur donnant de fausses réponses.
En ce qui concerne les piratages informatiques et les vols les Etats devraient systématiquement accorder un label d’OIV c’est à dire une sécurité informatique absolue aux industries porteuses de projets,. (Là je rêve car les piratages étrangers sont présents partout).
Les aides ?
Que mes 10 inventions majeures ne trouvent pas de partenaire, il y a visiblement quelque chose qui ne va pas entre notre société ses besoins, et ses inventeurs.
La défaillance de nos systèmes industriels et bancaires est ici totale.
Par ses refus systématiques, notre système bancaire condamne nos inventions à rechercher des aides auprès d’officines douteuses. (Le nombre de projets ayant échoués chez nous et ayant réussi ailleurs est colossal !). Nos banques préférant boursicoter ou prêter pour des achats de logements, plutôt que de prêter aux entreprises pour créer des richesses et des emplois.
L’Amérique s’est développée avec tous ces brevets refusés en Europe !
Les brevets refusés pourraient également développer le Tiers monde s’il n’était pas en guerres permanentes.
En France lorsque l’on réussit quelque chose on le vend très vite aux étrangers, airbus, T.G.V. Thomson. Tout a été inventé en France mais rien n’a été exploité chez nous. La liste des inventions françaises qui ont été exploitées ailleurs est impressionnante.
On a perdu : les conserves, le scaphandre autonome, l’électrolyse de l’aluminium, la photographie, le cinéma, le téléphone, le magnétoscope, la radio, la bicyclette, l’aviation, l’hélicoptère, le métier à tisser, la machine à coudre, le braille, le cœur artificiel, la carte à puce, la souris d’ordinateur, l’écran plasma, l’ordinateur portable, le stylo à bille, le scanner, le laser, les cristaux liquides, les nano-éléments, la machine à détecter les tumeur cancéreuses, la montre à quartz. On a découvert la radioactivité naturelle et la radioactivité artificielle.
Les applications des découvertes faites par l’institut Pasteur ne sont brevetées que depuis quelques années. On a abandonné nos recherches sur les nodules et sur les terres rares, laissant le champ libre à d’autres pays concurrents malgré la richesse de notre domaine maritime. Etc, etc…
Nous sommes dirigés par des criminels !
Tous nos projets à la recherche d’aides financières seront ainsi condamnés à passer des examens totalement bidons (Business plans) devant des organismes également bidons (CCI, Business Angels, Crowdfunding..) qui ne sont pas des experts et qui ne sont pas sécurisés (quant il y a 50 personnes dans un bureau où est la confidentialité ??).
Et les projets retenus ne représenteront que 1 à 2% des projets présentés (pourquoi ?).
Les créations de commerces pizzerias et autres bureaux de tabac seront retenues, mais rarement les créations de nouveaux produits..
Les Business Angels éliminent ainsi de bons projets et parmi ceux qu’ils retiennent (1 ou 2%) ils se font encore avoir une fois sur deux. Car trop prudents ils jouent la carte du commerce de détail et non celle de l’invention.
La CCI d’Annecy financera les magasins bios, mais pas les moteurs propres..
Les Business plans, les consultants, les analyses de valeur, et autres études de marchés sont longues, couteuses, et toujours fausses et totalement inutiles puisqu’elles déboucheront très rarement sur des aides très limitées, et qui plus est remboursables (avec un fort taux d’intérêt).
Les aides allouées (promises !) à ces projets sont en effet toujours plafonnées, c’est-à-dire que plus un projet est important et moins il sera aidé et plus il sera en danger.
Et toutes ces aides (promises !) ne couvriront pas les dépenses supplémentaires imposées (bilans prévisionnels, études de marchés et autres prestations de consultants bidons, voir carrément escrocs).
Et ces études de marchés longues et fastidieuses vont épuiser l’inventeur (qui a bien d’autres choses à faire) ce qui va reculer la sortie de son projet. Et au final cet inventeur à court de moyens devra vendre son invention à vil prix pour ne pas tout perdre.
Les capitaux de ces cabinets étrangers sont également très mystérieux (et bien évidemment non philanthropes). Ces organismes ne sont en réalité que des sites d’espionnage.
Les banques qui décident de tout sont ainsi devenues les organismes de nos spoliations, responsables autrefois de toutes nos guerres, elles ont après les colonisations permis le néocolonialisme (qui gardait les seules productions rentables).
Aujourd’hui elles détruisent tous nos projets innovants et rentables ! Et la bourse les occupe d’avantage que la richesse des pays,
Absolument pas expertes elles décident pourtant de tout. Elles sont à réformer en priorité.
Les Universités estudiantines sont elles aussi à éviter, elles ne protègent aucune de leurs données.
Les inventeurs et leurs inventions sont ainsi les premières victimes de la mondialisation, puisqu’ils sont en première ligne des créateurs, et leur inventions leur sont pratiquement toujours volées (officiellement refusées, puis transmises à l’autre bout du monde, modifiées et reprises).
Aucune justice ne protège les inventeurs particuliers contre les fabricants indélicats et leur procédures (bardés d’avocats), et les inventeurs seuls, démunis et sans argent, sont condamnés à une mort certaine dans cette jungle sans lois qu’est la mondialisation.
Le vol des idées dans l’œuf et l’espionnage informatique moderne ne seront jamais prouvés (la charge de la preuve revient à l’inventeur) et ainsi jamais poursuivis (qui plus est ces vols passent très facilement d’un pays à un autre, et peuvent rapporter gros).
L’inventeur fait des heures supplémentaires dans son célèbre garage d’où il va pouvoir conquérir le monde, FAUX ! L’inventeur est un homme seul qui doit d’abord devenir un champion du monde dans sa catégorie. Et on demande à cet homme seul d’être en même temps un banquier, un juriste, un industriel aux reins solides et un commerçant avisé. Pour sous traiter ses fabrications et ses ventes, ou pour s’associer il doit disposer d’un secrétariat, parler plusieurs langues, attendre 6 mois pour un devis ! faire des centaines de kilomètres pour rencontrer des escrocs et des voleurs. Or il n’a qu’un an entre son dépôt de brevet initial et ses extensions pour tout réaliser, produire faire sa société, sa pub et vendre. Et la société du crime ne le défend pas, elle le condamne à mort et qui plus est sous la risée de tous.
Les premiers ordinateurs familiaux, les PC ont étés livrés non montés (l’inventeur n’avait pas un rond) et ils n’auraient pas pu voir le jour si un Milliardaire américain n’était rentré dans l’entreprise.
Propositions
Le plus grand cimetière du monde est celui des inventions refusées qui représente 99,99% des brevets de particuliers. Brevets qui ont été tués dans l’œuf du fait des coûts de dépôts et du fait des industriels qui les refusent puis qui les détournent.
Ne laissons plus les banquiers (qui ne sont absolument pas experts en nouvelles technologies) et qui de toutes façon ne prêteront rien, décider de tout (c’est-à-dire d’agir contre nos intérêts). Ni les officines de bas étages se remplir les poches.
Les inventeurs se font systématiquement voler par les industriels et assassiner par les frais démesurés de l’OMPI. Et si un inventeur ne peu pas payer une seule de ses échéances, son brevet sera perdu et ouvert au pillage.
Les inventeurs sont traités pires que s’ils étaient des criminels. Et rien ni personne ne leur viendra jamais en aide !!!!!
Il va falloir créer très rapidement une société porteuse de multi projets afin de protéger les inventeurs, de les aider à réaliser leurs protos dans des lieux sécurisés, leurs expertises, leurs dépôts, leurs extensions, leurs fabrications, leurs ventes, les contrats de licence, et leurs recours.
Un projet qui marche soutenant ceux qui marcheront moins bien, d’autres sont bons mais long à s’imposer, d’autres sont bons mais à perfectionner, d’autres encore sont trop en avance.. Mais il y a toujours une partie intéressante dans chaque brevet.
Si les projets présentés et expertisés sont bons (nouveaux, mais pas trop, faciles à fabriquer, pas chers, rentables, etc..) ils devront être aidés et soutenus. (Aujourd’hui personne n’est expert mais tout le monde décide n’importe quoi).
Il existe ici une mine d’or qui permettrait aux inventeurs et aux pays d’origine de s’en sortir. Je suis sûr que l’on peut prendre la moitié des brevets si on s’occupe de tout. Et que tout le monde sera gagnant.
Et que les États seront eux aussi gagnants en emplois et en recettes.
Les deux plus belles inventions de ces dernières années, qui sont celles du Web et de la carte à puce ont générées des Milliards de recette sans rien rapporter à leurs inventeurs. Les inventions du Web par le CERN, et celle de la carte à puce par Moreno ont été très mal gérées, une meilleure protection de ces deux fabuleuses inventions si elle avait pu se faire, aurait pu aider un grand nombre d’autres projets !
Le Web du CERN n’a pas été breveté par manque de budget, et pour Moreno les arcanes des procédures de justice contre la Société Générale qui avait bloqué son brevet, ont durées pendant 18 années.. Et c’est France télécom qui a sauvé la Carte à puce en la prenant pour ses cabines téléphonique.
Nous pourrions conseiller voir développer (avec l’aide de tous) les brevets concernant l’écologie que l’on pourrait faire financer avec de micros capitaux, afin de se passer définitivement des banquiers, et de tous ces faux organismes d’aides.
Nous amélioreront ainsi l’écologie avec les recherches que nous aurons pu aider.
J’ai obtenu de l’ONU un accord de principe pour que les frais de dépôts des brevets destinés à l’écologie soient gratuits, mais l’OMPI (qui dépend de l’ONU) ne l’a pas accepté.
Mondialisation exemple pratique :
Celui des Indiens d’Amérique ou des Noirs d’Afrique qui se font voler de façon systématique par des laboratoires pharmaceutiques leurs médecines, issues de leurs pratiques ancestrales et de leurs observations millénaires sur les plantes et sur la nature.
On imagine mal un indien illettré et totalement démuni, vêtu de son pagne et équipé de sa seule sarbacane, devant se rendre à l’OMPI pour aller déposer ses découvertes de molécules ! et qui plus est payer ses dépôts (et leurs traductions) ainsi que ses annuités dans chaque pays, et devoir ensuite les défendre contre les contrefaçons par des procédures dans chaque pays ! Et alors que chaque pays possède des lois différentes !
Un texte de loi qui n’est qu’une loi du plus fort ne devrait pas pouvoir être considéré comme écrit. Évitons que ce soit toujours les plus riches (ou les plus malins) qui gagnent et créons et imposons une loi Universelle unique, pour défendre les patrimoines géographiques, afin que les pays qui en tirent un juste profit reversent de justes royalties aux pays de naissance de ces inventions ou de ces découvertes (et non pas à un seul homme), par exemple sous forme de biens d’équipements et ce, sous peine de sanctions automatiques (sans devoir toujours plaider).